Certains jours on se sent plus seul que d’autres,
et cela nous fait peut-être sentir que l’on est pas si seul d’habitude 😉
Pina Baush, femme à cigarette, grande figure,
allemande sans fare, phare de la danse allemande
Pina Baush les grandes robes emportées,
les longs cheveux détachés,
langage chorégraphique lyrique
romantisme froid,
humour cinglant,
savante absurdité,
nous représentés,
l’émotion sans explications,
la danse raconte, contient tant de choses simples et profondes
Barbe Bleue, Café Muller, un Sacre, film avec Almodovar,
les décors monumentaux universaux
tas de roses, chaises, bois, eau, sable,
des sensations incroyables,
une fleur de peau puissante
Pina Baush over bookée un an avant
lorsque programmée au Théâtre de la Ville
La « tanztheater », à sa suite Sacha Wals, et bien d’autres,
Ma pensée va
pour toute la communauté chorégraphique
pour partager avec vous d’attachants clichés, curiosité et goût
pour cette chorégraphe qui partait de l’humain, de personnalités